L’Ordre franciscain séculier :
Ce qui a motivé le Père Marie-Joseph


Par des notes manuscrites de janvier 1992, le père Marie-Joseph exprime d’où lui vient cette ardeur qu’il a développée en faveur de l’ordre franciscain séculier.
Sur le fond, on retrouve la force de la conviction que le père avait de l’importance et de la nécessité actuelle de la fraternité séculière à notre époque, ainsi que la source qui lui en est venue par ses parents. On voit également la constance de son orientation avec la citation qu’il fait de documents antérieurs de plus de 50 ans.
Sur la forme, on voit avec quelle minutie, il préparait ses interventions. Certes, ces notes sont en style abrégé, avec des références qui, pour lui, étaient évidentes et bien présentes dans sa pensée, et qui, pour nous, peuvent paraître énigmatiques ou lointaines, mais cependant toujours actuelles. Mais on voit nettement apparaître le déroulement de son argumentation, et le soin qu’il mettait à bien prendre en compte toutes les facettes de cet engagement et toutes les nuances nécessaires.
Ces notes manuscrites sur feuilles volantes ont été retrouvées rassemblées dans le dossier « janvier 1992 » préparé par le père Marie-Joseph pour la chronique de la Fraternité, chronique qui n’a plus été rédigée à partir de 1987 jusqu’au décès du PMJ en 1993.
Ces notes semblent avoir été écrites pour préparer un interview en prévision d’un article sur la Fraternité franciscaine de « Bitche » article paru dans l’hebdomadaire « Famille chrétienne » le 19 mars 1992 (date qui est tout un symbole pour le père) avec pour titre : « Fioretti au pays bitchois ».
Ci-après :

  • copie de la première de ces feuilles volantes
  • transcription de cette première feuille
  • article de famille chrétienne de mars 1992 – les deux pages d’introduction